5
Avec la Révol.RévolutionFrse, la République, la
démocratie, on a l'impression que les h.hommes
ont commencé à se prendre au sérieux
et qu'ils ont chargé les f.femmes de représenter
dsdans la vie quotidienne, la fantaisie,
la drôlerie, l'inutile et l'érotisme aussi.
Pour en revenir à cette exposition
qui nsnous réunit auj.aujourd'hui, il est significatif
que ce soit x "ce stupide XIXe siècle"
comme disait Daudet, Léon bien sûr,
le père le fils et pas Alphonse, qui ait privé les f.femmes des
quelques rares drtsdroits que lrleur avait donnés
la Révol.Révolution et qui les ait affublées de tstous
les signes traditionnels de l'Eternel Féminin.
Cette expo.exposition c'est au fond une galerie des phantas-
mes masc.masculins concernant la f.femme une taille
étranglée, évoquant la fragilité, qu'on pvtpouvait
tenir entre ses mains et briser. Ses
seins nourriciers, énormes (vsvous l'avez vu)
sécurisants, rassurants.
Des fesses tonitruantes quadruplées par les tournures et
les poufs
au total: 1) un taille de petite fille, de Lolita,
2) des seins nourriciers, coecomme cxceux d'une mère,
et 3) un arrière-train qui évoque ttestoutes
les turpitudes de la chair...