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course d'obstacles, courant après une
liberté qu'on nous concédait au cpte-gttescompte-gouttes
jamais totalement acquise, car les bar-
reaux des prisons et des clôtures ont une
fâcheuse tendance à repousser, comme
les bambous !
Rien ne nsnous est arrivé d'un seul coup,
comme cela a été le cas pr les Drts de l'H.Droits de l'Homme
à la Révolution frçsefrançaise. Nos élus, (à 90%
des hommes) nsnous ont octroyé des Drtsdroits tjrstoujours de mau
vaise grâce, notre EVASION du statut d'éter-
nelle mineure restant sous condition et subor-
donnée à la situation politique ou religieuse
du pays.
Or quand on cherche à s'évader, on a
peur. Avant. Pendant. et même après.
Peur d'être repris et ramené en arrière.
Peur de ne pas parvenir au bout de sa liberté !
Peur de mener des combats destructeurs
aux yeux de sa famille ou de la stésociété...
Le temps n'est pas si lointain où les
f.femmes qui tentaient de s'évader de leur condition
(qui voulaient exercer une compétences mé-
dicale par ex) cccomme Fac de médecine à Sienne étaient considérées comme
des SORCIERES ! (3 millions de s.sorcières5% de sorcières ont été
brulées au 16eème et au 17eème siècle en France et
en Allemagne.
Virginia Woolf qui tttout au long de sa
vie et jusqu'à son suicide, a tant manifesté
l'angoisse de vivre et la douleur d'écrire,