Il était un peu plus de huit heures et demie lorsque je me rendis dans  le port le lendemain matin,| et je n'avais pas pris de petit-déjeuner, j'étais sorti de l'hôtel pendant que mon fils dormait encore et je m'étais promené  dans le village avant de me diriger vers la jetée, où  je m'étais assis sur  une borne de pierre. Le port était désert autour de moi,et q Quelques barques tanguaient là en silence, devant moi le long du quai tandis qu'un minuscule ressac faisait clapoter  l'eau très doucement dans les eaux du port le bassin port — principal. | Le ciel était très gris à l'horizon quand j'arrivai sur la jetée, et quelques longs nuages blancs et  noirs immobiles flottaient dans l'air  au-dessus de l'île de Sasuelo. | Le pharede l'île de Sasuelo que j'apercevais au loinétait éteint depuis une ou deux heures  maintenant, et je regardais sa silhouette allongée qui se détachait dans la brume au sommet de l'île en me demandant si quelqu'un s'était rendu dans  l'île de Sasuelo un de ces derniers jours. Car, même s'il n'y avait pas de gardien qui vivait  dans le pharesur l'île en permanence et que tous les instruments de qui  faisant fonctionner le le faisaient fonctionner du phare étaient automatiques??? automatiquement  de manière automatique, avaient été ??? drés  de manière automatique,   étaient réglés pour fonctionner automatiquement de manière automatique,  il fallait bien que des visites de contrôle soient effectuées de temps à autre. Il fallait donc bien  que quelqu'un  se rende dans  sur l'île de façon régulière, me disais-je, quelqu'un devant être chargé de l'entretien du phare  mais ce dont je n'avais aucune idée en réalité, c'était le rythme avec lequel  ces visites d'entretien pouvaient être effectuées, était-ce tous les mois, ou bien une  fois par semaine, ou bien encore tous les deux ou trois jours pour une simple  vérification de routine ? Car, si c'était aussi régulier, il était certain  que quelqu'un avait dû se rendre dans l'île un de ces deux derniers jours.

Je m'étais assis sur un banc de pierre au bord de la jetée, et je regardai le phare du village qui s'??? de l'autre côté du port — Il n'y avait personne sur cette place, où la plupart des maisons étaient fermées, et je fumai une cigarette en le vent faisait frémir les feuillages des arbres —