Si nous cédons à la tendance actuelle,si nous renonçons à nsnous dire féministes coecomme sinsnous en avions honte, tout ce qu'il représenterisque d'êd'être escamoté ou remis en question.

Or, on ne peut +plus s'illusionner aujourd'hui.Non slmtseulement la cond. fémcondition féminine ne s'améliore pas dsdans lemonde, coecomme on aimerait le croire, msmais les drtsdroitsdes f.femmes sont en régression un peu parttpartout, y comprisdsdans nos pays développés. Ds les medias le 8 mars , on le reconnaît alors que il y a 5 ans... Chaque fois ques'instaure un régime autoritaire, chaquefois que l'intégrisme religieux cherche àdominer la vie politique, qu'il soit musulmanou chrétien d'ailleurs, chaque fois que resurgitun ordre moral répressif sans le contrepoidsde l'humanisme laïque, ce sont les drtsdroits des f.femmesqui régressent.

On le voit en Iran coecomme en Algérie, enEgypte où la loi Djihane Sadate a été abolieet la polygamie rétablie ainsi que lesmutilations sexuelles prpour les petites filles. EnRDA. Aux Etats Unis où de nbrxnombreux états ontrestreint ou interdit l'avortement. (Et l'afgha-nistan) Et ne parlons pas de l'Afrique où laprogression de l'analphabétisme, surttsurtout chezles filles, prépare la population fémneféminine à une existence de dépendance et de ss-développtsous-développement.

Alors en France nsnous bénéficions delois particulièrement favorables aux f.femmesmsmais les comportements n'ont pas tjrstoujours suivi.