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cette Bastille-là n'est pas près de tomber.
msmais n'oublions pas non +plus la + invisible
des Bastilles: celle qui se trouve dsdans notre tête.
NsNous n'osons pas prendre conscience de nos
compétences réelles, de nos potentialités.
Nous n'osons pas nsnous battre.
(Yvette Roudy) f.femme dsdans son cons.conseilmunicipal)
Cette Bastille-là, on nsnous l'a construite
depuis des siècles, pierre à pierre et mot à
mot et tttout le monde s'y est mis, les φφesphilosophes, les
h.hommes de science et mmême les
f.femmes hélas.
Et si je dis "mot à mot", c'est que le
lggelangage est aussi un bastion masc.masculin et (que) le
refus de féminiser constitue un obstacle tttout à ftfait
symbolique à la reconnaisscereconnaissance pleine et entière
des f.femmes à tstous les niveaux de la stésociété. Et c'est bien
de NIVEAU qu'il s'agit. C'est uniquement dsdans
les prof.professions de prestique qu'on refuse le fémféminin.
DsDans les métiers courants, on dit OPERATRICE,
une STANDARDISTE, une INFORMATICIENNE sssans
soulever la moindre opposition mmême à l'Ac. FseAcadémie française.
MsMais dès qu'il s'agit de métiers haut-de gamme,
ajouter un -e muet au mascmasculin (Ecrivain-e),
changer le suffixe -teur en trice (scupteur. trice)
ou simplement utiliser un déterminant fèm.féminin
LA ou UNE, dire La juge (e muet) la ministre,
la Maire, apparait comme un crise de
lèse-masc.lèse-masculin, pire m une aberration grammaticale,