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Les résistances <>les blocages ne viennent
pas des mots, ils stsont dsdans les télés - 3ex. exemplessignifigatifs.
Si j'étais Jeanne Calment; la doyenne. A l'Univ.Université me le Doyen
Si à la tête Ecole maternelle: la DceDirectrice / Au CNRS mme le Directeur
la secrétaire du Patron msmais mme LE Secr.Secrétaire d'Etat
Et le blocage est entretenu par l'AC.Frçsel'Académie Française dont l'action en faveur du fem.féminisme se
borne à avoir refusé pdt 4 siècles d'ac-
cueillir 1 f.femme sssous la Coupole! Et qdquand M. YouscenarD'Ornesson
en 83 : Mme L'ACADEMICIEN-(la mort de
notre cher CONFRERE Marguerite
J-D Dredin : Mme-MM- Ms Bianciotti :
messieurs (Romilly. Carrère d'Encausse)2 f.femmes ne changent rien seuil de 30%
Chiens de gardes du langagemsmais pas de grammai-
riens à l'Acad.l'Académie TOUS les Grds gramm. du
siècle ont été contre "L'affreux Mme LE" qui
gâte tant de nos textes. (Ferd. Brunot 1922)
DAUZAT pose parfaitmt parfaitementle problproblème: La f.femme qui préfère pr le
nom de sa profession le masc. masculindu fem.féminin accuse par la
m^même un complexe d'infériorité dérober son sexe derrière
le genre adverse, c'est le trahir. Dire par ex.exemple mme LE
Docteur c'est proclamer la supériorité du mâle dont
le masc.masculin est l'exp.expression gramm.grammaticale normale (cad le femféminin...)
Refuser le fem.féminin amène à des situations
grotesques : Ségolène Royal !(maternité)
Il semble que la sit.situation soit en train
de changer. NsNous avons l'appui du Conseil de
l'Europe qui en 90 recommandait aux
Etats membres: