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Et je me suis tjrs toujoursétonnée que la peur de subir de telles épreuves - ss sanscompter le déshonneur prpour la famille cf "marthe"- n'ait pas détourné la majorité des f.femmes de l'amour. Cela milite en faveur d'une insouciance foncière de l'êêtre hmnhumin, d'un goût de la vie, qui stsont finalement réjouissants. <>
MsMais Pr pouren revenir aux relations H.F.Homme - Femme d'auj.aujourd'hui, je trouve personnellement que nous sommes accablés de livres, d'études, d'enquêtes, d'articles et de statistiques sur ce sujet. Ecrits par les meilleurs (et les pires) des auteurs. Et je ne vois pas très bien ce que j'apporterais de nouveau à ce <> thème.
En revanche il me semble qu'on connait mal, qu'on mesure mal, tt toutce qui reste auj.aujourd'hui , ds dansl'inconscient féminin, de cette tradition d'oppression, de soumission, qui a pesé si lourdement sur ces f. femmeset sur la représentation qu'elles se fntfont de lrs leurscorps - on ne peut parler de la sxté sexualitédes f. femmesactuelles ss sansévoquer ce conditionnement.Car on ne se libère pas en 1une génération, ni m^ mêmeen 2deux, après tant de millénaires de patriarcat, jmsjamais remis en question.
Et je pense qu'il est tttout à ftfait indiqué d'en parler dvtdevant le milieu médical. Il serait injuste de dire qu'il ait été +plus misomisogyne ou +plus paternaliste que les Juristes par ex.exemples, ou les prêtres ou les psychanalystes. Simplement on éttétait en drt droitd'attendre de la part d'esprits supposés scientifiques, donc objectifs, un traitmttraitement +<>plus égalitaire du masc. masculinet du fém.féminin or il n'en a rien été.