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sexualité fém.féminine est +plus riche, +plus diffuse, +plus durable que
ce que P. Bruckner appelle "la rudimentaire décharge mas-
culine", qu'on a tttout fait pour la réduire et la canaliser
au sl.seul profit de la famille. Aristote déjà le con-
seillait clairement : (^mmême chose manuel du Confesseur au 19e)
Il faut toucher à sa ffemme prudemment, et sévèrement de
peur qu'en la chatouillant trop lascivmtlascivement, le plaisir ne la
fasse sortir du droit chemin de la vertu".
Cette volonté de discipliner le plaisir des f.femmes, au
besoin en rectifiant l'anatomie de lrleur sexe, on en
trouve une manif.manifestation particulièrement désolante dsdans le
cas de M.Marie Bonaparte, amie fidèle et disciple de Freud.
Elle F.Freud l'a si bien convaincue que l'orgasme fém.féminin
correct ne pvtpouvait êêtre que vaginal, qu'elle s'est fait opérer
prpour frefaire migrer son le clitoris à l'intérieur de son vagin
dsdans l'espoir de jouir enfin coecomme le recommandait Papa
Freud.
Ce n'est hélas pas un cas unique, le Medical
World News en avril 78, signalait que 4000 f.femmes avtavaient
subi cette "reconstruction vaginale" afin d'amélio
rer lrleur plaisir sxl.sexuel et surtout de l'adapter aux désirs de l'H ! L'auteur de ces intervions un gyné-
cologue de l'OHIO du nom de Dr James BURT a d'ail-
leurs été exclu de l'Assoc.Association des Sexothérapeutes
de la côte Est Amér.Américaine
Pour en revenir à ce recul de la cond.condition fem.féminine
que j'évoquais plus haut, je vdrsvoudrais citer rapidement
les autres pays où elle s'excerce pour montrer que la
mise ou la remise en tutelle des f.femmes passe d'abord par
le corps et la réglementation de la vie sxllesexuelle.