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mettent pas que les f.femmes outrepassent les limites
qu'ils lrleur ont assignées. C'est tttout de suite la chasse
aux sorcières qui recommence où l'on voit affleurer
les pires phantasmes mascmasculins.
On ne se tire pas tttout à ftfait indemne de ce type
de jugements, si ridicules ou si injustes qu'ils
soient. Et ce mépris a pesé très lourd sur la
mentalité et le comportement la confiance en elles de bcpbeaucoup de f.femmes dtdont
l'action a été lgtmpslongtemps paralysée. On ne mesurera jmsjamais à
qlquel ptpoint ces images dévalorisantes ont bloqué notam-
ment ttetoute tentative de création maismsmais aussi ttetoute ambition scientifique, politique etc.
PourtantPrttPourtant on sait auj.aujourd'hui que le don artistique se
répartit au hasard et sssans distinction de sexe.
Et on le sait de manière détournée à la suite de
recherches sur les très jeunes enfants et les fous.
Ces 2deux groupes on en effet 1un ptpoint en commun :
chez eux, le conditionnement social ne joue
pas ou ne joue plus. Chez les premiers, les enfants
il n'a pas commencé. Chez les autres, les
malades mentaux, les barrages ont sauté et
ils échappent au condittconditionnement social.
On constate que dsdans ces 2deux groupes la créativité ap-
parait sssans distinction de sexe.
Je pense à Simone Veil - bcpbeaucoup humanisée -
et qui a dit : "j'aurais fait 1une carrière bcpbeaucoup +plus
ambitieuse, si j'avais été 1un h.homme, je n'ai pas
tjrstoujours osé en tant que f.femme !"