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Idée qu n'a pas tttout à ftfait disparu auj.aujourd'hui Je me
souviens chez Grasset quand Marie Cardinal a apporté le
manuscrit des "Mots pour le dire", de l'horreur des lecteurs
qui ont failli refuser ce roman à cause de la descr.description
de ce sang menstruel, de ces hémorragies qui consti
tuaient un scandale inconvenant, +plus dégoûtant que
la pire pornographie !
Le sang des guerres, des tortures, des viols est 1un
sujet hautement littéraire, msmais le sgsang des f.femmes jsqu'àjusqu'à ce
livre éttétait un Tabou. Un interdit
Alors... les règles éttétaient abominables et maléfiques
msmais cela n'impliquait pas qu'à la ménopause les
f.femmes se rachetaient ! Pour compléter la démolition de
sa personnalité, on la méprisait encore davantage
vieille. L'homme sain, conserve sa puisscepuissance
génie jsqujusqu''à la fin, écrivait Lamennnais par exexemple La f.femme,
perdant la possi puissance de concevoir et sa grâce juvénile, devient
une sorte de métis, ni H.homme ni F.femme un 3ème sexe dont la Vvie ? est à étudier et qui
a +plus besoin encore d'être contenue que la j.jeune fille"
On voit bien qu'on la rattrappait à tstous les tournants de sa vie !
Rien n'illustre mieux les rpp.rapports de la
médecine avec les F.femmes et le rapp.rapport de force que main-
tenait la stésociété, que l'Histrehistoire
les âges.
DvtDevant la peste ou la lèpre, on constatait une sorte
d'=égalité, msmais dès qu'il s'agit d'enfantement, ttetoute une série
de rites entrent en jeu pr exorciser ce plie?. inquiétant finalmentfinalement et
prpour empêcher les Mères d'utiliser ce pvr pouvoirfabuleux.
Ainsi on a tdancetendance à croire que la f.femme enceinte des siècles
passés éttétait respectée, c'éttétait tttout le contraire : l'utérus
gravide recélait des pvrspouvoirs maléfiques. Ed SHORTER,
un profprofesseur d'histhistoire et de sociologie à l'U.Université de Toronto a écrit
avec la collab.collaboration de médecins un ouvr.ouvrage terrifiant qui
est traduit en frcsfrançais sssous le titre LE CORPS DES F.FEMMES