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Selon le lévitique, la F.femme restait impure
7sept jrsjours prpour un enftenfant mâle, 14quatorze pr pourune femelle.
Pour les Cathol.catholiques c'éttétait 66soixante-six jrsjours prpour 1une fille, 35trente-cinq prpour 1un garçon
Si la f.femme quittait son domicile avant les
relevailles, tjrstoujours la ^mmême sorcellerie supposée en elle, elle assè-
chait les puits, déclenchait des incendies etc.
Si elle mourait avant sa purification,
elle n'avait pas le drtdroit d'êêtre enterrée au cimetière ! Le Consistoire
de 1528 déclarait : "Les mortes en cchescouches ne doivent pas
se trouver sur le chemin des vivants".
En Saxe, cite Shorter, si l'accouchée éttétait morte
avec son nveaunouveau-né, elle en éttétait coupable : on les empa-
lait tstous les 2deux dsdans leur tombe, coecomme des vampires.
Ce rituel s'appelait en anglais CHURCHING
Quelle éttétait l'attitude des Médecins face à ce
rejet ? Et bien c'éttétait l'=/indifférence au mxmieux, le refus de soigner au
pire. "L'obstétrique éttétait considérée coecomme 1une occup.occupation ? dégradante"
Les matrones éttétaient recrutées parmi les +plus basses couches
de la popul.population et n'éttétaient tenues à aucun code profes.professionnel
Elles allaient de maison en maison avec leur
ftl??? d'acc.accouchement ? percé, leur crochet de rétameur à la cein-
ture.
La pudeur ordonnait en outre de travailler
à l'aveuglette, sssous les jupes de la parturiente. Aucune
sage-fmefemme ne savait frefaire m^même 1une couture du périnée.
Les Ecoles de médecine, certaines Ecoles Italiennes
célèbres notamment, éttétaient interdites aux f.femmes depuis
le XIVè. Et chez les H,hommes à Salerne, à Padoue, à
Montpellier, à Paris, l'obstétrique était com-
plètement ignorée par suite des commande-
ments religieux qui jetaient l'anathème sur
le corps fem.féminin et ses fonctions.