Transcription de Poitevin Elie_31_AF 60_07_MDS00010 Transcripteur Zenaide_Hamon

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Laboratoire Litt&Arts

Texte transcrit

Et une formule comme celle de votre titre :"lasxtésexualité : mon corps m'appartient", m'apparaît comme foncièrement révolutionnaire. Elle est révolutionaire à l'échelle de la planète (indispensable dsdans bien des pays), mais elle l'est aussi dans nos pays dits développés

dsdans la stésociété française notamment, pour desraisons historiques et religieuses, les f.femmes ont été totalement disqualifiées dsdans le passé à cause de cette spécialité du pays qui est la loi salique, qui empêchait les f.femmes d'hériter du Royaume de France, nsnous n'avons jmsjamais eu deREINES. Et la révolution frçse lui a instauréLES DRTSDROITS DE L'HOMME - pas les drtsdroits humains msmais les drtsdroits de l'Hl'Hommel'Hommel'Homme ! - n'a apporté aucune évolu-tion de la condition féminine- - mmême pas le drt dedroit vote ! - alors qu'on proclamait pompeusement le Suffrage dit Universel !

Se me semble que c'est en qquequelque sorte par compensation que les Français ont inventé cette ridicule notion de galanterie, qui servait en fait à masquer la ferme volonté de maintenir les Dames dsdans le rôle de charmantsOBJETS SEXUELS dont on baisait la main tout en leur enfonçant la tête dès qu'elles essayaient d'émerger -

- On leur ouvrait la porte, galamment, au restaurant mais on leur claquait au nez la porte des grandes Ecoles et des Académies.