3
En revanche, on les retrouve chez les animistes
d'Afrique et m^mêmechez les Coptes Egyptiens qui stsont chrétiens
msmais les autorités civiles et religieuses ont tjrstoujours
entretenu silence gêné refusant de prendre parti sur ce probl.problème ou l'ont nié.
Qd QuandFra Hosken il y a 10 ans en visitant l'Afr.Afrique a dé-
couvert l'existence de ce probl.problème et a décidé d'y consacrer
sa vie, elle s'est mise à assiéger les Délégués de ttestoutes les
organ.organisations internationales et parttpartout la m^même réponse : Pas chez
nsnous ou dsdans des coins reculés de brousse. En voie de disparition.
Donc impossible de se renseigner sur coutume
et conséqcesconséquences, qqsquelques rares médecins (Verzin. Dr Peeters Bruxelles)
avtavaient publié études dsdans revues médicales. missionnaires qdquand aux
ethnologues, pittoresque coutume pudiquement
baptisée cérémonie d'initiation.
ça continue : en oct.octobre 1980 un crtncertain Mrmonsieur Charles Cousin au Palais
de Chaillot, film et conf.conférence "Afrique interdite" où l'excision
figure entre la chasse au porc epic et les masques des
stéssociétés secrètes !
Comment un tel secret si bien gardé ?
Remarque malveillante : tstous les représ.représentants officiels
de ces pays d'Afr.Afrique ou d'Orient dsdans org.organisations coecomme l'Unesco,
ou l'ONU stsont à 100% des H.hommes Les M^Même chose des ethno-
logues, des médecins, des "explorateurs" jusqu'à
époque assez récente.
Les f.femmes de ces pays vivent dsdans le monde du silence
C'est prquoipourquoi le 1erpremier acte, le +plus important, c'éttétait d'INFOR-
MER. Et l'inf.information a paru si subversive si intolérable que niée ou ignorée.
1erspremiers art.articles dsdans magazines féminins pas pris au sérieux.
Dsdans FFemmes, les féministes cherchaient un cheval de
bataille - sensationnel