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or il faut tenir compte du fait que structures familiales et sociales rigides, l'identité communautaire est vitale prpour les pplespeuples d'Afrique. Pas
de destin individuel prpour les f.femmes Il est non slmtseulement difficile
msmais suicidaire de refuser la tradition (Erythrée. Cl Brière)
Je vois bien que nsnous autres sssous prétexte que , f.femme occidentale,
ne nsnous réagissions pas, ne criions pas au scandale
coecomme si ns-^mnous-mêmes n'étions pas concernées par de telles hor-
reurs et coecomme si notre stésociété éttétait innocente.
Parce que l'idée que les org.organes génitaux des f.femmes sont sales et
tabous, est ou a été très répandue. (Un ex : Linné
"je ne décrirai pas les org.organes fém.féminins car ils stsont abominables"
Je rappelle que le mot clitoris ne figurait pas dsdans le
Gd GrandLarousse Univ.Universel au début de ce siècle et pas
dessiné sur planche anatomique.
Quant à cette idée que les mutil.mutilations ont l'avantage
de freiner l'hypersexualité féminine, elle est venue
aussi à des médecins occidentaux. Aucun médecin, n'a
jmsjamais proposé de châtrer les violeurs à répétition msmais
en revanche en Angleterre, aux E.UEtats Unis et ailleurs, on a
brulé à la neige carbonique le clitoris des petites filles prpour guérir
la masturbation Isaac Ba?es Brown (1866) et excisé des jeunes f.femmes prpour nympho-
manie. le dernier cas remontrerait à 1937 selon
le Drdocteur Benfield dsdans le jalJournal Intern.International de la Santé. N. YorkNew-York
"Le désir de liberté sexuelle des f.femmes est 1une maladie qui doit
être traitée."
D'ailleurs il suffit est instructif de se reporter au JalJournal Officiel
et de co lire les phrases prononcées par nos très ho-
norables députés lors des débats sur contraception
et pire avortement prpour voir que pour à quel point la liberté