jusqu'au volet qui donnait sur la chambre des patrons,

en rafales, et j'eus très froid soudain, comme si toute la fraîcheur de lanuit s'était abattue sur moi en un instant, car j'étais presque certain d'avoirfermé le volet de ma chambre avant de partir. J'étais tout seul dans la nuit surle bord de la route, et je longeai rapidement  furtivement la façade de l'hôtel jusqu'au volet dela chambre des patrons de l'hôtel, un petit volet sombre et silencieux contrelequel je me mis à frapper, tout doucement,  une première fois d'abord, puisune deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujours pas de réponse, jefinis par appeler. Un long moment s'écoula encore, où je n'entendais toujoursrien aucun bruit derrière le volet, puis, comme je m'apprêtais à appeler de nouveau, levolet s'entrouvrit devant moi, lentement, et je vis apparaître la silhouettedu patron dans l'embrasure de la fenêtre, qui portait un vieux maillot decorps et une veste de survêtement froissée qui tombait sur sa poitrine. Jevoyais sa femme aussi, dans le fond de la pièce, qui était couchée en chemisede nuit dans le lit, et je ne sus que dire. Le patron me regardait en silence,une main posée sur le bois de la fenêtre. Faites le tour, je vais venir vousouvrir, finit-il par dire, et je m'éloignai longeai la façade de  de la façade  dans la nuit le long de la façade de l'hôtel pendant qu'il re-fermait le volet derrière moi dans la nuitdans la nuit.

et il referma le volet derrière moi dans la nuit..

me dirigeai vers   pris la direction de j'allais rejoindre l'entrée de l'hôtel  immédiatement

J'attendais en haut des marches du perron en haut des marches du perron devant la porte vitrée de l'entrée que le patron vienne m'ouvrir la porte principale de l'hôtel,

et je m'éloignais sur la route pour

J'étais monté attendre le patron en haut des marches du perron, et, aubout d'un moment, je le vis apparaître au fond du couloir qui se dirigeait

J'attendais en haut des marches du perron que le patron vienne m'ouvrir la porte principale de l'hôtel,