Lorsque j'arrivai sur la jetée, je reconnus l'homme tout à fait dans la barque dans la barque et je m'avançai sur le quai jusqu'à l'endroit où elle  la barque bateau était ancrée. Il releva la tête à mon arrivée, et ne me salua pas vraiment,  prit acte de ma présence plutôt, mais sans désagrément, ma présence mon arrivée ne le dérangeait nullement apparemmenten apparence . Il était assis sur la banquette de la barque, une caisse en bois retournée au fond de la barque  et à la il prpérarait des palangres à la lueur d'une  petite lanterne en métal qui était accrochée à un fil pendait à un fil le long de la paroi de la minuscule cabine de qui se dressait  en bois dans laquelle était ménagée une fenêtre qui se dressait au milieu de la barque du bateau. Dans un seau, à côté de lui, se trouvaient  des petits poissons morts, dont il se servait comme appât et qu'il sortaient au fur et à mesure un par un <> et qu'il déchira dont il déchirait la chair en trois parties qui  correspondaient , leset déchirait en trois morceaux déchifrait les chairs corps en trois morceaux , avec un chiffon qui correspondaient à la tête, au le corps et à la queue, que, l'un après l'autre à tour de rôle il enfonçait  dans d'un geste rapide et vissant dans le piquant d'un hameçon de la main dans le crochet d'un des hameçons de la ligne. Vous aller pêcher maintenant ? lui demandai-je.  Demain, dit-il. et il continua de appata une tête de poisson???et je le vis et il glissa la tête une tête de poisson dans le crochet d'un hameçon, de ses appâts,    Une petite tête de poisson appâtée avec les yeux globuleux et la bouche ouverte dans une expression de stupeur. Je m'assis en face de lui sur la jetée, dont le sol était à peine très légèrement humide et je continuais de le regarder faire, les bras autour des genoux  et le dos appuyé contre un amas de filets de pêche. Ah, il va faire beau  demain, dit-il en relevant la tête vers moi le ciel , il va faire beau,  et il jeta un coup d'œil sur le ciel étoiléet il m'expliqua que cela faisait près d'une qu'il n'avait pas pu sortir à la pêchede toute la semaien maintenant qu'il ne  pouvait plus sortir à cause du gros temps mauvais temps. La dernière  fois qu'il était sorti, c'était, c'était — il réfléchissait.

C'était le jour où le chat avait été assassiné.