C'est désormais sur le corps des f, épouses
ou maîtresses, à travers leurs parures ou leurs
bijoux, que vont s'afficher la réussite et la
fortune des maris, enfermés, eux, dans une
austère sobriété.

Ms il ne faut pas oublier que la
mode masculine a été folle aussi, à de
nombreuses époques -

On se souvient des effets d'encolure
et de poitrail de François I, des fraises
engonçantes, des colliers et pendentifs...

Des dentelles et des jabots des
Petits marquis de Célimène - Alceste, bien que
misanthrope, étt surnommé l'H aux rubans verts.

Et Charles Quint qui s'habillait comme
une gourgandine - Et Louis XIV qui s'épilait,
dit-on - Robespierre qui se poudrait...

Et -(je cite dans le désordre) qui ne se
souvient des grands portraits