Pourtant, portés par la vague post-68, les livres des femmes ne sont plus désormais une marchandise suspecte reservée à quelques maniaques. Ils acquièrent peu à peu une légitimité médiatique, même si les hommes continuent à na parler lire. Témoignages bruits ou reflexions abscones, sérieux ou fous, magnifiqueq et parfois illisibles, ils sont toujours émouvants parce qu'ils témoignent d'une parole si longtemps baîllonée. Le public est sensible à des réalités jusqu'alors occultées considérés comme féminine alors qu'ils sont humains et implique toujours l'autre sexe: l'inceste, sujet tabou, les femmes battues qui constituaient, encore en 1970, comme dans les fabliaux du troyen Age, un sujet de plaisanterie, les violences conjugales, le scandale des avortements clandestin et bien d'autres thèmes devenus courants aujourd'hui chez les romanciers des deux sexes.

Dans le journalisme, même mise en marge des femmes:il y'a quelques années, une rédactrice des pages culturelles du journal le Monde n'avait qu'un dénigrement systématique des éléments féminins était toujours de mise sous les nouvelles formes présent rigolotes. Chaque semaine il fallait réserver un certain quota de textes à des questions féminines et cet espace s'appelait la" rubrique connasses". Ses femmes journalistes se devaient de trouver la plaisanterie désgrilante sous peine d'être accusées de marquer d'humour!
Toutes ces petites humiliations sont.