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En somme les F. vivaient depuis des siècles dans un état de crainte révèrentielle des H et des jugements de la Sté, on pourrait presque dire de paralyse !
Or on aborde le +sut la question sous l'angle opposé : on prend d'abord en considération la peur de la sté face à l'émancipation des F, face à leur survenue - si récente - dans tous les domaines d'activité (ou - ds nos pays dits développés bien sûr)
Mais pour ma part, je dirais plus plus volontiers que les stés ont tt simplement PEUR que les F. n'aient plus PEUR !
Car le patriarcat a tjrs été fondé sur la PEUR. Sur 2 peurs complémentaires en fait : 1) Celle des H., qui s'apparente à un malaise latent, à une angoisse collective, chaque fois que les évolutions économiques ou politiques menacent de fragiliser le statut des uns et des autres. Une angoisse diffuse, imprécise, nourrie par l'imagination plus que par la réalité sociale et qui est devenue, de nos jours, la réaction, la contre partie d'une liberté qui n'a jamais été aussi grande.
Or on aborde le +sut la question sous l'angle opposé : on prend d'abord en considération la peur de la sté face à l'émancipation des F, face à leur survenue - si récente - dans tous les domaines d'activité (ou - ds nos pays dits développés bien sûr)
Mais pour ma part, je dirais plus plus volontiers que les stés ont tt simplement PEUR que les F. n'aient plus PEUR !
Car le patriarcat a tjrs été fondé sur la PEUR. Sur 2 peurs complémentaires en fait : 1) Celle des H., qui s'apparente à un malaise latent, à une angoisse collective, chaque fois que les évolutions économiques ou politiques menacent de fragiliser le statut des uns et des autres. Une angoisse diffuse, imprécise, nourrie par l'imagination plus que par la réalité sociale et qui est devenue, de nos jours, la réaction, la contre partie d'une liberté qui n'a jamais été aussi grande.
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