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mâles également, pour bien nous montrer qu'au ciel aussi les hommes occupaient le trône et que la seule femme admise dans le cercle sacré l'était au titre de la Vierge-Mère, un modèle impossible à suivreimiterimiter!

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(anecdote sur les seuls hommes autorisés dans l'enceinte de l'Institut Ste Clotilde, le prêtre qui disait la messe et les enfants de choeur, tous desdeux petits garçons! alors que nous étions 400 petites filles, jugées indignes <(frappées d'impuissance>d'approcher de l'autel. Toujours la malédiction d'Eve.) 

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Dans les 3 grandes religions monothéistes, qui dit , dit mâle tout-puissant, sans épouse divine ni descendance féminine. C'est une exclusion qui va fonder et légitimer toutes les autres (et qui va fonder sans doute ma tendresse pour l'Antiquité grecque et tous ces dieux de l'Olympe qui se conduisent parfois comme des coquins mais savent apprécier les plaisirs de la vie! Et dont les divinités sont parfois de femmes : <Athêna>, déesse de la sagesse,    ou  Vénus  -,    <Héra>  etc.)

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On peut conclure de tout cela qu' aux petites filles et aux adolescentes que leurs frères, on ne proposait aucune équivalence à ces héros magnifiques chez lesquels tant de garçons ont puisé leur vocation, leur ambition ou tout simplement leur assurance dans la vie, la fierté d'être un homme.

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Si l'on pense à l'Histoire de France, on s'aperçoit que nous sommes très mal loties. Nous n'avons jamais eu de grandes reines à cause de cette spécialité bien française encore une fois,   , héritée du terrible Droit romain. Elle interdisait aux femmes d'hériter du Royaume de France et de régner en titre. Alors qu'en Angleterre, en Belgique, en Hollande, en Suède, en Russie ou dans notre Bretagne celte, des femmes sont montées.


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