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je crois que la Dre Suzanne Képès attendait de moi que je centre mon sujet sur les relations des h. et des f auj. à la lumière des transform (de la véritable Révol. devrais je dire) qui sont intervenue ds la vie et srtt ds la vie des F. depuis la 2e moitié de ce siècle.

Vs avez peutê entendu - avec horreur - que je disais LA Dre Képès ! que j'avais en somme l'audace d'utiliser un article féminin dvt un nom de métier exercé par 1 F. coe cela se faisait couramment au Moyen Age... et coe cela se fait auj qd il s'agit de professions sans prestige !
J'ouvre une très brève parenthèse pour me justifier : J'ai présidé en 84 et 85 une "Comm. de Termin. pr la fémin.tion de noms de métiers, de grades et de fonctions" créée par le Ht Commissiat à la Lgue Frse, le 1er Ministre, L. Fabius, et la Min. des Drts de la F., Y Roudy. Les travx de cette commission de linguistes et de grammairiens ont fait l'objet en Mars 86 d'un ARRETE, paru au J.O., stipulant que la forme fém. existe, de droit, à côté de la forme masc. pr ts les noms de métier, et doit ê<> marquée au moins par l'art. ou le déterminant féminin. Les dict., les manuels scolaires, devront donc s'aliner sur cette recomm. et elle passera sans doute ds l'usage + vite qu'on ne pense coe c'est arrivé par ex. au québec. (ECRIVAINE)

Je reviens à notre sujet, sur le changt des moeurs actuelles pour dire que j'y suis particul. sensible justement, parce que je fais partie d'1 génération - charnière qui a connu AVANT et APRES.

J'ai l'impression d'ê 1 f. préhistorique qd je redis, et pr bcp de filles jeunes, cela parait de la Préhistoire : elles n'imaginent pas que si près d'elles - leurs mères ont vécu ds une telle situation d'inégalité.

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Rougesan