Ce corps qu'elles ont été condamnées à vivre comme qqch. chose de souillé, d'impur, depuis le Pêché originel.

La F. n'est à aucun moment de l'H. considérée comme un individu à part entière ayant droit au choix de son destin. Elle est d'ailleurs désignée dans les dictionnaires comme LA FEMELLE DE L'H., alors que l'H. n'est jms défini comme LE MALE DE LA F! Il est l'être humain par excellence !!

Il a tjrs existé un véritable rejet voire une répulsion du + les organes sxls féminins. La f. n'était qu'un mâle puni, coe dit Platon. Un ratage et une erreur de la Nature, selon Aristote et 20 siècles plus tard, elle sera encore le mâle manqué, l'h. castré, l'être en manque de phallus, de FREUD.

En plein 18e siècle, le grd naturaliste LINNÉ, écrit dans la Préface de son  ouvrage sur l'anatomie:
"Je ne décrirai pas les organes génitaux féminins, car ils sont ABOMINABLES" (un scientifique pas 1 prêtre)

Et tt le monde sait que les f. menstruées n'avaient pas le droit d'entrer dans les Eglises pendant les périodes ni chez Hébreux, ni chez les catholiques ! Les règles étaient MALÉFIQUES_ (the curse)_

Les conséquences de ces anathèmes et de ce mépris, sur le psychisme des f. et sur leurs efforts