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Mars 82
Commencer en remerciant h. et f. pr probl. secondaire.
Je vais d'abord lever 1 hypothèque qui prt peser sur
ce que je vais dire à propos des mutil. sexuelles subies
par les f.
Etant donné que je ne suis ni gynécologue, ni sociologue,
ni anthropologue ni m^ psychiatre, on prt se demander
ce qui justitife mes
ici ce soir. La 1e date de la public
ion
d'Ainsi soit Elle en
1975. De nbrses depuis ds MClaire, ds F. mag., au cours
de conf. de presse de Terre des H. à Lausanne, de colloques
avec des Africaines, d'ém. de télévision etc
Et je précise que ttes ces interv. je les ai faites non pas
en tant qu'Occidentale
lique ou m^ que féministe, ms tt simplement en tant
que Femme.
Parce que tt ce qui opprime, mutile ou rabaisse des
groupes de f. en tant que telles, m^ à des milliers de kms
de nous, quelle que soit lr couleur
atteint ttes et
Et je me sens d'autant - coupable de pa-
ternalisme ou de néo-colonialisme qd j'aborde ces
questions que
ds le monde entier, à des degrés + ou - graves, par
l'oppresssion que subissent les f. ds les stés partriarcales
c.a.d. grde majorité des stés.
Pr ne citer que qqs ex : la crémation des veuves indiennes
sur bûcher mari. La mutil des pieds des Chinoises
900 ans. Les négresses à plat x. Les
anneauxdu cou des
f. birmanes. L'enfermement ds mde arabe de puberté à ménopause.
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