En fait les mutil. sexuelles ne sont que la forme la +
cruelle extrême de la'une domination établie sur les f. en gal
      ds ttes les sociétés.

Ms entrons ds le vif du sujet si j'ose employer une
       expr. aussi affreusement adaptée aux.

Un chiffre d'abord ; selon les estim. les + récentes et que
ne conteste pas l'OMS, il y aurait aujdhui près de 75
millions de f. excisées ou infibulées dans 26 pays
d'afrique Noire et du Proche Orient et on mutile ac-
tuellement 500.000 petites filles par an.
Au lieu de régresser, ces pratiques actuellement se dé-
veloppent ,du fait notamment de l'explosion démo-
graphique ds ces pays. C'est ce qu'a déclaré à la Comm.
des Drts de l'H. à Genève, en séance pleinière des aux Nations Unies , Me
Graham une Ghanéènne, une de ces courageuses f. Africaines qui
osent depuis 2 ou 3 ans dénoncer les mutil. et
réclamer leur abolition.

Parce qu'il faut le rappeler et le repéter - et c'est en
       cela que l'action des journalistes et des groupes de f. a pu être si import-
       ante, c'est à cause de l'immense silence qui
       a recouvert ces pratiques, du tabou gal qui concer-
       ne la sxté féminine, que les mutil. ont pu
       dont l'origine est inconnue et se perd ds la nuit
       des tps, ont pu se poursuivre jsqu'à auj.
Il ft le savoir : Aucune religion aucune législation nale n'im-
       pose ces pratiques - on a svt accusé l'Islam -
       nulle part ds le Coran, mention de l'excision.
       D'aillrs Arabie Saoudite, berceau de l'Islam : PAS
                                                                      de mutil.