Ronan Cardinal_31_AF43_07_MDS00074
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partt des enquêtes sont publiées, des voix s'élèvent.

Je pense que bcp ont lu art. ou ouvrages sur mutil. sxlles. Je
ne rappelerai donc que l'essentiel:

3 formes: 1) la + bénigne: SUNNA - ablation de tt ou partie du clitoris

2) L'Excision proprement dite: ablation du clitoris
+ celle des petites lèvres et, svt régions, l'ablation des
grdes lèvres -c.a.d qu'il ne reste rien des organes
génitaux externes de la f. sauf l'orifice vaginal

3) Enfin l'infibulation ou circoncision pharaonique.
la + atroce, puisqu'en + de l'exicsion et sans anesthésie, on met à vif
les parois externes de la vulve, on rapproche les bords
et on les maintient soit par épines d'acacia soit
par pts de suture jusqu'à cicatrisation. Le sexe fem-
(je l'ai vu à Djib) ressemble à poupon de celluloïd
Reste monstruosité anatomique qu'un orifice minuscule pr urine et sang-
(paille) vs imaginez que ds ces cond. mariage et fécon-
dation impossibles. F. rouverte au couteau
pr l'accoucht tissu cicatriciel ne se dilate pas-
ouvrir. Puis recoudre.

Je signale que l'infib. se pratique en Ethiopie (30
millions d'hab) au Soudan à 98 90% (17 millions d'hab.) en
Somalie, (3,5 millions) en Rép. de Djibouti, ds une
partie Mali, du Tchad, du Nigéria, du Kenya
et ^m au sud de l'Egypte. Qlquesoit régime politique-


Qt aux conséq. médicales, on les imagine.
Non slmt suites opératoires immédiates, hémorragies svt mortelles,
septicémie, tétanos ?ns conséq. pr la vie- on les
trouve décrites pas ds les rapports.





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