UNE MERE MAGNIFIQUE
cicatrice qui barrait le dos
J'étais près de lui à Sencellemoz les derniers temps.
Dans la mort, il se trouvait un visage de moujik, avec ses pomettes larges, ses cheveux de soie blonde et cet air à la fois enfantin et très vieux qu'ont parfois les jeunes morts. Son visage était enfin pacifié depuis qu'il ne souffrait plus. mais j'y cherchais en vain cet air tendre et
Devant le spectacle intolérable d'un jeune mort bien-aimé, les idées les plus folles peuvent surgir. J'ai raconté cette histoire sous d'autres noms dans le Journal à quatre mains. Je n'arrivais pas à me dire, après une vie commune si bèrve : C'est fini. Et finie aussi la relation d'affection et d'estime nouée avec lec her Professeur Nimbus dont j'admirais tant la générosité et les idées gauchistes avant la lettre. Pour perpétuer cette histoire