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Quelque chose de bon pour l'évanouillement ;
Le sirop de brochat, l'arnica, l'Arquebuse !
Prenez n'importe quoi ! Dépêchez-vous surtout !
Gnafron, brandissant triomphalement une bouteille
Voilà du Beaujolais. C'est préférable à tout.
Guignol, revenant à lui)
Beaujolais ! Beaujolais ! C'est mon Gnfron qui jappe.
Polisson de printemps qui m'a fait cette attrappe !
Gnafron
Non, mon gone, vois-tu, c'est l'inspiration
Qui a mis dans ton haustau la désolation.
N'écris plus de sonnet ! Ce travail-là vous use.
On a rien à gagner à fréquenter la Muse.
Si tu veux amasser des jaunets, des patards,
Des picaillons avant qu'il ne soye trop tard,
Fais de la politique ou bien de la finance !
Guignol
T'as raison ! Je vais suivre, ami, ton ordonnance,
Ne laissons pas les fleurs du printemps se faner,
Allons jusqu'à Saint-Cyr nous lantibardanner.
Choeur final, tous trois sur un air ad libitum
Le sirop de brochat, l'arnica, l'Arquebuse !
Prenez n'importe quoi ! Dépêchez-vous surtout !
Gnafron, brandissant triomphalement une bouteille
Voilà du Beaujolais. C'est préférable à tout.
Guignol, revenant à lui)
Beaujolais ! Beaujolais ! C'est mon Gnfron qui jappe.
Polisson de printemps qui m'a fait cette attrappe !
Gnafron
Non, mon gone, vois-tu, c'est l'inspiration
Qui a mis dans ton haustau la désolation.
N'écris plus de sonnet ! Ce travail-là vous use.
On a rien à gagner à fréquenter la Muse.
Si tu veux amasser des jaunets, des patards,
Des picaillons avant qu'il ne soye trop tard,
Fais de la politique ou bien de la finance !
Guignol
T'as raison ! Je vais suivre, ami, ton ordonnance,
Ne laissons pas les fleurs du printemps se faner,
Allons jusqu'à Saint-Cyr nous lantibardanner.
Choeur final, tous trois sur un air ad libitum
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