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-> (1) Et je me suis aperçue que c'este encore +dif-
ficile de décrire l'extase physique que l'extase mystique
par ex. - Il est faux de penser que d'un coté c'est le
domaine du vulgaire et de l'autre de la spiritualité.
Marcel Acland a écrit & phrase très juste à ce
sujet et qui m'a aidée :LE CORPS N'EST QU'UN DES
NOMS DE L'AME, ET SS DTE PAS LE + INDECENT.
Les 2 héros, qd ils st ensemble, renouent avec
qqch. de primitif, d'authentique, dvt lequel ils
sont désarmés, avec ts lrs raîsonnements.
D'une certne façon cet amour épisodique,
cet A impossible à vivre ds la durée est 1 A. absolu,
car ils n'ont rien à se donner qu'eux-^m. Pas de
contrat d'ass. Ils ne se rendent pas de services.
C'est une relation réduite à ? ce qu'il y
a de + profond, de+ mystérieux en chacun d'eux.
Le probl. c'est que ttes les romancières qui
ont voulu parler de la sensualité au fém. du plaisir ? se sont
heurtées à une réprobation unanime de la ste.
Elles ont gv scandale. George Sand la 1e.
se souvient-on que Colette a été considerée lgtps
coe un écrivain pervers parce que , coe disait Jean
Cocteau (qui l'admirait) elle avt osé parler "de son
ventre". (Pas sexe à l'époque) LE BLE EN HERBE
CHERI.
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claire.felep