Avec la Révol.Frse, la République, la
démocratie, on a l'impression que les h.
ont commencé à se prendre au sérieux
et qu'ils ont chargé les f. de représenter
ds la vie quotidienne, la fantaisie,
la drôlerie, l'inutile et l'érotisme aussi.

Pour en revenir à cette exposition
qui ns réunit auj., il est significatif
que ce soit x "ce stupide XIXe siècle"
comme disait Daudet, Léon bien sûr,
le père le fils et pas Alphonse, qui ait privé les f. des
quelques rares drts que lr avait donnés
la Révol. et qui les ait affublées de ts
les signes traditionnels de l'Eternel Féminin.

Cette expo. c'est au fond une galerie des phantas-
mes masc. concernant la f. une taille
étranglée, évoquant la fragilité, qu'on pvt
tenir entre ses mains et briser. Ses
seins nourriciers, énormes (vs l'avez vu)
sécurisants, rassurants.

Des fesses tonitruantes quadruplées par les tournures et
les poufs

au total: 1) un taille de petite fille, de Lolita,
2) des seins nourriciers, coe cx d'une mère,
et 3) un arrière-train qui évoque ttes
les turpitudes de la chair...