Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
III, 95

l'homme que j'avais vu ce matin dans la cabine téléphonique.


Je m'avançai vers lui et je me présentai, je dis que j'étais un ami des
Biaggi. lui demandai si Victor Rafa n'était pas là
Non, je crois qu'il est toujours à l'hôpital, me dit-il
Il est hospitalisé
Il continua cessa un instant de ratisser et me regarda, me dit
qu'il s'appelait Victor
.



Victor, dit-il simplement comme je lui tendis la main.  nous nous serrions la main.pour se présenter, et il se remit à râtisser.


Les Biaggi ne sont pas là ? demandai-je. Ils sont à Paris, en regardant
la maison. Ils doivent rentrer ce soir, me dit-il, ou demain, ils ont
passé la semaine à Paris.


Ils doivent rentrer ce soir, me dit-il. Il continua de ratisser comme si je n'étais pas là. Ou bien demain, 
je ne sais pas très bien, ajouta-t-il, ils ont passé la semaine dernière à Paris.


Me dit-il ?
et j'eus le sentiment
qu'il en était –
Vous êtes le gardien? dis-je

a été on l'a opéré


Ou Il est peut-être rentré chez lui maintenant, je ne sais pas très bien.


Le cœur, dit-il, et il me montra l'ep??? de
son corps derrière sa chemise
en laine à carreaux.


Un vieux monsieur très gentil.


Il portait une chemise en laine épaisse, à carreaux beige et brun,
avec des x de verts.

Contributeurs (1)
brigittefc