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IV. 273

J'avais repris le chemin de l'hôtel, et je suivais dans l'autre
sens la route qui longeait la falaise, quand, repassant devant la
décharge publique, j'aperçus un chat noir juché au-dessus des détritus.
sur la cage grillagée des poubelles. Il était monté sur la cage grillagée des poubelles et
se tenait penché en avanten équilibre sur l'arondi d'un des barreaux , penché en avant au-dessus d du bord, aux prises
avec
un sac-poubelle éventré dont il était en train de sortit précautionneusement  qu'il fouillait précautionneusement de la
pate, Tout occupé à en sortir
un long squelette de poisson décharné des
profondeur du sac,
. Iil ne m'avait pas entendu approcher, et , comme je
m'arrṕêtais sans bruit à sa hauteur pour le regarder faire, il s'interrompit
brusquement et releva la tête, qu'il maintint tout à fait immobile pour
me regarder aussi. Moins de cinq mètres nous séparaient, et il ne
bougeait pas, prêt à bondir si je m'étais risqué à faire le moindre
pas de plus dans sa direction. Il attendait sans doute que je m'éloigné
pour continuer reprendre son poisson, mais, pour l'instant, il ne bougeait absolu? pas,
Il continuait de me fixer avec une intense attention de son regard
absolument vert, et, ce qui me troublait le plus en ce moment, c'était est
que ce n'était pas la première fois que je croisais ce regard. Que j'avais
déja croisé ce regard une nuit sur la jetée du port. Et que le patron
de l'hôtel aussi avait dû croiser ce regard la nuit dernière dans
la salle à manger de l'hôtel, car c'était lui sans doute qui avait dû rôder
la nuit dernière dans la salle à manger, se glissant furtivement dans
la pénombre de la salle à manger entre les tables déjà dressées pour
le petit-déjeuner, les yeux verts luminescents qui brillaient dans la
faible clarté lunaire qui enveloppait les lieux,  et qui s'était enfui
par la baie vitrée dès que le patron était entré.

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