J'avais repris le chemin de l'hôtel, mon fils devant moi dans
sa poussette qui se laissait conduire (-sur la route avec indifférenceen,
remuant mollement les deux  jambes devant lui, quand, repassant devant
les poubelles, j'aperçus un chat noir monté sur la cage grillagée qui ???
se tenait en équilibre sur l'arrondi d'un des barreaux, aux prises
avec un sac-poubelle éventré qu'il était en train de fouiller??? précau-
tioneuselement de la pâte  patte. Il ne m'avait pas vu arriver ??? de route et, comme
je m'arrêtais à sa hauteur sans bruit à sa hauteur pour le regarder,
il s'interrompit brusquement et releva la tête, qu'il maintint tout
à fait immobile pour me regarder aussi. Moins de cinq mètres nous
séparaient, et il ne bougeait pas, continuant de me fixer avec une
intense attention, prêt à bondit si je me risquais à faire le moindre
pas de plus dans sa direction. Il attendait sans doute que je m'éloigne
pour se remettre à fouiller les poubelles, mais, pour l'heure il
ne bougeait absolument pas pas, la tête droite et les oreilles dressées il restait aux aguets,
il il continuait ?? de me regarder fixemen en avec attention ??? ??? de me fixer avec grande attentiont de son regard absolument vert, en ??? et la ??deé
et, ce qui me troublait le plus en le regardant ce moment , c'était que ce n'était
pas la première fois que j'avis croisé je croisais ce regard. Que j'avais déjà crois
ce regard une nuit sur la jetée du port. Et que le patron de l'hôtel
aussi avait dû croiser ce regard la nuit dernière dans la salle à manger
de l'hôtel, car c'était lui sans doute qui avait dû rôder la nuit dernière
dans la pénombre entre les tables dans la salle à manger, ??? dans la pénombre de la ??? de salle déjà dressée pour le petit déjeuner  les yeux verts
luminescents qui brillaient dans la faible clarté lunare qui enveloppait
les yeux, --- et qui s'était rapidement enfui la baie vitrée quand le patron était
entré.