et il avait une des mes cravatesautour du cou, déchirée, dont le
noeud manquait, c'est-à-dire que la cravate
cou, avec un noeud, mais qui n'était pas le noeud naturel d'une cravate,
un lambeau de cravate
de sorte que la seule explication possible était que quelqu'un l'avaitpropre cravate, que quelqu'un, sans ôter sa cravate,
l'ayant toujours soi-même nouée autour du cou, s'était servi des deux
bandes de tissu pour l'étrangler
sans ôter sa cravate en quelque sorte, quelqu'un s'étant servi de sa
caravte toujours nouée autour de son propre cou pour l'étrangler.
que quelqu'un avait réussi à s'approcher de
qu'il avait dû s'approcher de
du cou, sa propre cravate toujours nouée au col de sa chemise, et
qu'il avait commencé à serrer tandis que les mains de
chait à ses poignets, mais qu'il n'avait pas lâché prise, qu'il avait
continuer de serrer, de serrer de plus en plus fort, au point de s'étran
gler un peu lui même puisque la cravate était toujours nouée autour
de son cou, mais qu'il avait tenu bon, jusqu'au moment, où, presque
simultanément la cravate s'était déchirée sous la pression des mains
et que
du cou ce qui rfe restait de la cravate
le tissu de la cravata avait cédé, qui se' atait déchiré sous la pression,
et que
le cadavre dans le port.