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IV. 93


et il avait une des mes cravatesnouéeautour du cou, déchirée, dont le
noeud manquait, c'est-à-dire que la cravate
 qui était serrée autour de la peau son
cou, avec un noeud, mais que ce nœud n'avait rien du  qui n'était pas le noeud habituel naturel d'une cravate,mais
un lambeau de cravate ??? noué autour de la peau de son cou,
  un nœud beaucoup plus fort qui agressait la peau de son cou
de sorte que la seule explication possible était que Biaggi que quelqu'un l'avait
été étranglé une nuit sur la jetée du port par quelqu'un avec sa propre cravate, que quelqu'un, sans ôter sa cravate,
l'ayant toujours soi-même nouée autour du cou, s'était servi des deux
bandes de tissu pour l'étrangler

que Biaggi avait été étranglé par quelqu'un




sans ôter sa cravate en quelque sorte, quelqu'un s'étant servi de sa
caravte toujours nouée autour de son propre cou pour l'étrangler.


que quelqu'un qui s'étaitavait dû s'  approché avait réussi à s'approcher de lui de Biaggi et à lui passer sa cravate

qu'il avait dû s'approcher de Biaggi et lui passer sa cravate autour
du cou, sa propre cravate toujours nouée au col de sa chemise, et
qu'il avait commencé à serrer tandis que les mains de Biaggi s'accro-
chait à ses poignets, mais qu'il n'avait pas lâché prise, qu'il avait
continuer de serrer, de serrer de plus en plus fort, au point de s'étran
gler un peu lui même puisque la cravate était toujours nouée autour
de son cou, mais qu'il avait tenu bon, jusqu'au moment, où, presque
simultanément la cravate s'était déchirée sous la pression des mains
et que Biaggi avait lâché prise, tombant sur le quai avec noué autour
du cou ce qui rfe restait de la cravate



le tissu de la cravata avait cédé, qui se' atait déchiré sous la pression,
et que Biaggi avait ne laissant plus qu'un noeud



Un coup de pied suffisait pour faire basculer
le cadavre dans le port.

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brigittefc