Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
III. 352


Il n'était pas très tard quand je rentrai à l'hôtel, dix heures et
demie tout au plus, et la porte principale de l'hôtelétait encore ouverte, je
remarquai même de la lumière sous la porte de la chambre des patrons??? jetournaispassais dans le couloirà droite des escaliers  à l'intérieurdans ledu couloir?????. Je remontai
dans ma chambre, et je me déshabillai sans bruit das le noir, déposai mon manteau
sur le dossier d'une chaiselitet enlevai ma cravate. MOn filsdormait
dans son lit de voyage, qui
 ne m'avait pas entendu rentrer,  qui dormait tranquillement paisiblement dans son lit de voyage.,et je 
m'approchai de la fenêtre pour et écarter les rideaux de la main. J'étais là debout
à la fenêtre de ma chambre, à et je regarder ais la route dans la nuit quiqui s'éloignait
s'éloignait dans la nuitqui s'éloignait vers la sortie du village et vers la maison des
Biaggi, et je songeais que si j'avais eu s'il y avait eu un téléphone dans la chambre,
j'aurais pu composer le numéro de téléphone des Biaggi maintenant. La sonnerie
aurait retentit là-bas dans la e maison salon de la villa déserte, et, après quelques secondes,
le déclencheur se serait sans doute mis en marche et j'aurais de nouveau entendu
la voix de V Biaggi, vivantetoute proche, tout à fait  et familière mais qui m'apparaîtrait
curieusement étrangère
. Vous êtes bien au quatre-vingt quinze, trente et
un, trente-quatre, quarante-trois. NOus sommes absents pour le moment.
Vous pouvez nous laisser  nous laisser unun message apr un message après le message après le — et j'aurais raccroché, je
n'aurais pas laissé de message.

Contributeurs (2)
Clara Imbert brigittefc