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IV.88


de Biaggi s'accrochaient à ses poignets pour le faire lâcher prise, mais
qu'il n'avait pas lâcher prise, qu'il avait continué de serrer dans la
nuit noire noire fugitivement  que traversée ait illuminée par fugitivement par inter le faisceau du phare de l'île de
Sasuelo, le long faisceau lumineux du phare de l'île de Sasuelo qui
éclairait <> par intermittence le son visage de l'agresseur tandis qu'il continuait de serrait
de plus en plus fort, au point de s'étrangler un peu lui-même puisque la
cravate était toujours nouée à son cou, mais qu'il avait tenu bon et
qu'il avait continué de serrer de toutes ses forces, jusqu'au moment
où, presque simultanément, la cravate avait fini par cédéer, ne laissant
plus qu'un moignon de noeud déchiré au cou de la chemise de  la chemise de ???  de l'agresseur,
et que Biaggi avait lâché prise, tombant sur le quai avec autour du cou
ce qui restait de ma cravate. Un coup de pied suffisait pour faire basculer
le corps dans le port.
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AnthonyYss brigittefc