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IV.90

Je m'étais recouché, et je demeurais les yeux ouverts dans la pénombre l'obscurité
dans la pénombre
sans dormir. Il y avait la table en face de moi, sur laquelle reposaient un paquet de cigarettes
et la clef de la chambre

et mon manteau sombre
était ?? posé sur le dossier de la chaise. Mon fils respirait doucement dans son lit,
qui se dressait contre le mur dans la pénombre, et j'apercevais son petit
corps recroquevillé sur le matelas à travers la fine paroi ajourée du lit
de son lit, qui avait une alure de moustiquaire.



Mon fils respirait doucement dans son lit, qui s'était rendormi sitôt dès
que je l'avais recouché, et j'apercevais son petit corps recroquevillé
sur le matelas à travers la fine paroi ajourée de son lit qui se dressait
contre le mur dans la pénombre. Je n'entendais aucun bruit dehors, et je revoyais l'image du cadavre du chat dans le port, le jour où je l'avais découvert
? il me semblait qu'il faisait nuit de nouveau maintenant. Le port devait être était
désert dans l'obscurité, dont les eaux lisses et paisibles qui ?? le cadavre du chat ondulaient dans un murmure et le cadavre du chat était là, qui flottait dans la nuit
faiblement dans l'obscurité avec la quiétude trompeuse de l'eau qui dort,
et je où flottait le cadavre du chat, les oreilles dressées qui dépassaient
hors de l'eau.
Je le voyais le chat précisément le cadavre du chat, ses oreilles qui dressées qui dépassaient hors de l'eau et
sa moustache
brisée
 le corps renversé
dans l'eau sombre, qui flottait lourdement à la surface, et bientôt,
imperceptiblement, l'image de Biaggi se superposa substitua naturellement à celle du chat.


et je revoyais l'image du cadavre
du chat tel
le que je l'avais découvert le premier jour dans le port 
Je revoyais parfaitement le cadavre,

Contributeurs (2)
Eve Dellarovere brigittefc