Si nous cédons à la tendance actuelle,
si nous renonçons à ns dire féministes coe si
ns en avions honte, tout ce qu'il représente
risque d'ê escamoté ou remis en question.
Or, on ne peut + s'illusionner aujourd'hui.
Non slmt la cond. fém ne s'améliore pas ds le
monde, coe on aimerait le croire, ms les drts
des f. sont en régression un peu partt, y compris
ds nos pays développés.
s'instaure un régime autoritaire, chaque
fois que l'intégrisme religieux cherche à
dominer la vie politique, qu'il soit musulman
ou chrétien d'ailleurs, chaque fois que resurgit
un ordre moral répressif sans le contrepoids
de l'humanisme laïque, ce sont les drts des f.
qui régressent.
On le voit en Iran coe en Algérie, en
Egypte où la loi Djihane Sadate a été abolie
et la polygamie rétablie ainsi que les
mutilations sexuelles pr les petites filles. En
RDA. Aux Etats Unis où de nbrx états ont
restreint ou interdit l'avortement. (Et l'afgha-
nistan) Et ne parlons pas de l'Afrique où la
progression de l'analphabétisme, surtt chez
les filles, prépare la population fémne à une
existence de dépendance et de ss-développt.
Alors en France ns bénéficions de
lois particulièrement favorables aux f.
ms les comportements n'ont pas tjrs suivi.