Cependant plusieurs pays, le Kenya,
le Burkina Fasso et le Sénégal ont déclaré
illégales les muti. sxelles, dangereuses pr la
fécondité des f. et l'Unicef a entrepris un prgr.
d'édu. sanitaire sur place. Enfin.
Mais le poids des traditions est si lourd
que ces recommand. restent svt lettre morte.
Pas tjrs cpdt. Le mvt Sentinelles, crée par Edm. Kaiser,
le Fondateur de Terre des H, dt le siège est à Lausanne a
suscité des réunions en Afrique et l'une d'elles à Konakryen nov. 85, sble avoir porté ses fruits. Des délégués du
Bénin, de Côte d'Ivoire, du Mali, de la Mauritanie, du Sénégalet du Togo et de la Guinée, ont voté 1 résol. d'abord deformation sanitaire à donner aux matrones et aux exci-
seuses et ensuite - grde nouveautés - elles ont recommandé
ds 1er tps la simulation de l'acte. On estime qu'en Guinée,
depuis 3 ans, 20% des filles ont pu ainsi rester intactes
et éviter un calvaire ss que les traditions aient été ouver-
tement bafouées.
Auj. enfin de nbx jns médecins publient des thèses
sur ce sujet et se livrent à des enquêtes telle cette statis. d'unmédecin somalien, le Dr EL FUTUH, qui a interrogé 300maris polygames ayant des épss dt certnes ett infibulées, d'autres
slt excisées, et qqs unes intactes. 266 h. ont reconnu qu'en
cas
physiologi.
en faveur de la sunna-clitoridectomie, ms signalé
qu'une mutil.minimale sblt nécessaire pr que les f ne
donnent pas libre cours à lr sxté débridée !!
Pour conclure, je vdrs dire qu'il ne fdrt pas juger
cette pratique du ht de notre civil. chr. et blanche qui,
elle, serait innocente : on a pratiqué l'excision en Eur.
et aux EU. ou au - la cautérisation du clitoris. Soit
pr guérir la masturb. chez les petites filles, soit à la demande
de certains maris pr "calmer le tempérament de leurs épss"
(Jomo Kenyatta)
Le Dr Bennet fut ^m chassé de la sté d'obst. anglse,
vers 1900, pr avoir pratiqué un nbre excessif d'excisions.