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-> (1) Et je me suis aperçue que c'est encore + dif-
ficile de décrire l'extase physique que l'extase mystique
par ex: - Il est faux de penser que d'un côté c'est le
domaine du vulgaire et de l'autre de la spiritualité.

Marcel Arland a écrit 1 phrase très juste à ce
sujet et qui m'a aidée :LE CORPS N'EST QU'UN DES
NOMS DE L'AME, ET SS DTE PAS LE + INDECENT
.
Les 2 héros, qd ils st ensemble, renouent avec
qqch. de primitif, d'authentique, dvt lequel ils
sont désarmés, avec ts lrs raîsonnements.
D'une certne façon cet amour épisodique,
cet A impossible à vivre ds la durée est 1 A. absolu,
car ils n'ont rien à se donner qu'eux-m^. Pas de
contrat d'ass. Ils ne se rendent pas de services.
C'est une relation réduite à elle-m^, à ce qu'il y
a de + profond, de + mystérieux en chacun d'eux.

Le probl. c'est que ttes les romancières qui
ont voulu parler de la sensualité au fém. du plaisir, se sont
heurtées à une réprobation unanime de la sté.
Elles ont ft scandale. George Sand la 1e.
se souvient-on que Colette a été considerée lgtps
coe un écrivain pervers parce que, coe disait Jean
Cocteau
(qui l'admirait) elle avt osé parler "de son
ventre
". (Pas sexe à l'époque) LE BLE EN HERBE
CHERI.

-> p7
BEAUVOIR avec le IIe sexe. Qu'1 f. ose parler de l'anatomie du
sexe fém. paraissait inadmissible. (Index.)
ou, il est rejeté avec horreur, ou pas compris.
(moi en 49) Alors que cours de sexe comme Sade. Bataille - le mépris
du corps fém. ex utirre au désir masc., ça on
l'admettait. // Auj. la sté n'est + 1 sujet tabou, ms ce qui
<- dérange c'est le sexe déculpabilisé chez 1 f.

Contributeurs (1)
Eve Dellarovere