Passant en revue ttes les atteintes à l'image
qu'elles pvt avoir d'elles-^m, svt ds les milieux pay-
sans ds tte l'Europe il conclut "que la féminité nepvt ê pour la plupart d'entre elles qu'un concept entièr mtnégatif, qqch qui les rendait < aux H. Un fardeau queDieu lr avt imposé et qu'il fallait porter avec résignation.
Pr l f. la sffrce allt de soi. C'est le disc. exact
des infibulée !
Leur vie, étt une suite de grossesses subies +tôt
que désirées, d'accouchements à ht risques,
un régime de travail écrasant ss congé pré ou post-
natal. Rien d'étonnant à ce que les f. entre 12et 40 ans aient eu ds les siècles passés un tauxde survie nettement < à celui des H.
Au XIXè, en Allegne, entre 1800 et 1850,les f. avt 25% de chances de plus de mourir, que
les h., entre 20 et 45 ans. Passé 45 ans, en revanche,
elles survivaient aux H.
Cette méfiance dvt la grossesse, Shorter la signale
: "En Finlande, la f. enceinte ne pvt se rendre à l'Eglise nise montrer ds les lieux publics car sa "souillure" pour-rait contaminer les autres !" M chose en Suède = truie.
La preuve en est la cérémonie religieuse des relevailles
dont on a oublié le sens auj.. Par ce rite, la jne mère, 4 à
5 semaines après son accouch. étt déclarée purifiée et réin-
tégrée ds la Communauté. La coutume existait avt laRéforme ds ttes les Eglises Chrétiennes d'Occ. coe d'Orient.
Et bien que
Luther
jusqu'au XX
ès. ds les Eglises anglicane et catho.