Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
17

Passant en revue ttes les atteintes à l'image
qu'elles pvt avoir d'elles-^m, svt ds les milieux pay-
sans ds tte l'Europe il conclut "que la féminité ne
pvt ê pour la plupart d'entre elles qu'un concept entièrmt
négatif, qqch qui les rendait < aux H. Un fardeau que
Dieu lr avt imposé et qu'il fallait porter avec résignation.

Pr l f. la sffrce allt de soi. C'est le disc. exact
des infibulée !

Leur vie, étt une suite de grossesses subies +tôt
que désirées, d'accouchements à ht risques, d'infections chroniques, le tt ds
un régime de travail écrasant ss congé pré ou post-
natal. Rien d'étonnant à ce que les f. entre 12
et 40 ans aient eu ds les siècles passés un taux
de survie nettement < à celui  des H.

Au XIXè, en Allegne, entre 1800 et 1850,
les f. avt 25% de chances de plus de mourir, que
les h., entre 20 et 45 ans. Passé 45 ans, en revanche,
elles survivaient aux H.

Cette méfiance dvt la grossesse, Shorter la signale un peu partt
: "En Finlande, la f. enceinte ne pvt se rendre à l'Eglise ni
se montrer ds les lieux publics car sa "souillure" pour-
rait contaminer les autres !
" M chose en Suède = truie.

La preuve en est la cérémonie religieuse des relevailles
dont on a oublié le sens auj.. Par ce rite, la jne mère, 4 à
5 semaines après son accouch. étt déclarée purifiée et réin-
tégrée ds la Communauté. La coutume existait avt la
Réforme ds ttes les Eglises Chrétiennes d'Occ. coe d'Orient.

Et bien que rejetée stigmatisée par Luther en 1525, elle devait persister
jusqu'au XXè s. ds les Eglises anglicane et catho.


Contributeurs (1)
FF