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C'est la comtesse Jean de Pangequi cite ces extraits (bouton)
Pdt ce temps, le s quotidien de NargDurand réclamait pour les f "l'humble liberté des mots" par la simplificationdu costume.
Il soulignait aussi qu'à côté de ttes ces belles dames, c'étt le bagne du travailindustriel ds les filatures, et que que lesouvrières ne touchaient pas la moitié des salaires masc., que ce salaire étt d'aillrsla propriété du mari (jusqu'en 1906) et que le contraste étt tragique entre le luxeeffréné des toilettes et la vie quot. despiqueuses, brodeuses, couturières, giletières de Lyon, Rbx, Paris etc.
Il y a un très joli livre deparu en 1920 sur ce sujet qui s'appelle
suivi de
C'es une petite bergère illettrée devenue brodeuse
et qui avt dû renoncer à son métier de
brodeuse à 45 ans car elle étt presque aveugle
Marguerite
AudouxAudoux
MClairesuivi de
l'Atelier de MClaire(mon père)C'es une petite bergère illettrée devenue brodeuse
et qui avt dû renoncer à son métier de
brodeuse à 45 ans car elle étt presque aveugle
C'est en 1900 slmt que(Maroc en Inde) Millerand a réduit la
journée de trav. à 10h. ds les ateliers où tra-
vaillaient des f. et des enfts.
journée de trav. à 10h. ds les ateliers où tra-
vaillaient des f. et des enfts.
Les jrnx féministes réclamaient
aussi le drt de vote. Les Finlandaises
aussi le drt de vote. Les Finlandaises
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