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Et Morand conclut par une question qui
témoigne d'une certaine angoisse masculine
devant ce changement :

Les f. avaient mntnt le droit à la paix, dit-il, au
soleil, à la vitesse. Elles avaient le diable au corps,
envie de tout. C'étaient des insurgées permanentes,
prêtes à jouer leur rôle dans l'immense sou-
lèvement planétaire qui depuis 1917 dressait
les riches contre les pauvres, les gras contre les
maigres, les Fils contre les Pères, les races de
couleur contre les Blancs, et... les F. contre
les Hommes ?

Car c'est la Grde question! un éditorial du
1er janvier 1900, ds le Gaulois, la posait déjà
et elle me servira de conclusion et de sujet
à notre débat, j'imagine :

Que seras-tu, émancipée du XXe s., masculinisée
par le cost.-tailleur ? Ne sera-t-elle, pas amère
cette solitude vers quoi tu marches d'un pas hardi,
trop hardi ptê... ? Est-ce le bonheur que tu trouveras
quand tu te seras faite libre... si tu y parviens..."

On voit que derrière l'hommage à la f. libre,
se profile tjrs +ou-, le chantage à l'Amour.

Personnellement j'ai l'impression qu'on
arrive à se fre aimer en Jean ou en survêtement
aussi bien qu'avec un corset à baleines et
sûrement avec moins de souffrances...
Merci de .....

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