Ronan Cardinal_31_AF43_05_MDS00072
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On a commencé à prendre l'info au sérieux qd le
Monde en a parlé (Claire Brière, I. Vichniac), qd
l'OMS a fini -ss la pression de groupes de f. - par
consacrer à Khartoum un séminaire sur ces
pratiques qui "affectent l'intégrité physique et la
santé des F."
L'important n'étt pas tant de prendre des mesures,
encore moins d'interdire, mais d'informer, d'EN parler,
d'oser dire que cela se pratiquait et de décrire les
conséquences DESASTREUSES(OMS) pas slmt pr fonction érotique même pour la santé des f.
et pr fécondité, élément si important pr vie des Afrnes
EN parler = Révolution
En effet Parce que, ss prétexte que cette torture n'est infligée qu'
à des f., qui st des citoyennes de 2e zone, qui ne
voient en brousse jms un médecin, svt cloitrées,
réduites au silence par l'isolement et l'analpha-
bétisme, on a pu constaté a maintenu autour d'elle une conspiration du
silence
Le voile de silence, hypocrite ou soi-disant pudique,
on peut dire auj. qu'il est déchiré. Et pas slmt
par les fem. occidentales. Ms le fait que l'OMS
et l'UNESCO aient enfin pris parti et déclaré
dangereuses ou catastrophiques les mutil. sxlles
a encouragé un peu partt des f. Noires, des sage-
f., des médecins à en réclamer une éduc.
sanitaire qui seule peut conduire forcément à la disparition suppres-
sion
de cette coutume.
Awa Thiam  xx viva au Niger. Edna Ismaïl en
Somalie min. de la santé, f. méd. El Saadawi en Egypte
enquêtes du Dr El Dareer, soudanais
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