Ronan Cardinal_31_AF43_09_MDS00076
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or il faut tenir compte du fait que structures familiales et sociales rigides, l'identité communautaire est vitale pr les pples d'Afrique. Pas
de destin individuel pr les f. Il est non slmt difficile
ms suicidaire de refuser la tradition (Erythrée. Cl Brière)

Je vois bien que ns autres ss prétexte que , f. occidentale,
ne ns réagissions pas, ne criions pas au scandale
coe si ns-^m n'étions pas concernées par de telles hor-
reurs et coe si notre sté étt innocente.
Parce que l'idée que les org. génitaux des f. sont sales et
tabous, est ou a été très répandue. (Un ex : Linné
"je ne décrirai pas les org. fém. car ils st abominables"
Je rappelle que le mot clitoris ne figurait pas ds le
Gd Larousse Univ. au début de ce siècle et pas
dessiné sur planche anatomique.

Quant à cette idée que les mutil. ont l'avantage
de freiner l'hypersexualité féminine, elle est venue
aussi à des médecins occidentaux. Aucun médecin, n'a
jms proposé de châtrer les violeurs à répétition ms
en revanche en Angleterre, aux E.U et ailleurs, on a
brulé à la neige carbonique le clitoris des petites filles pr guérir
la masturbation Isaac Ba?es Brown (1866) et excisé des jeunes f. pr nympho-
manie. le dernier cas remontrerait à 1937 selon
le Dr Benfield ds le jal Intern. de la Santé. N. York
"Le désir de liberté sexuelle des f. est 1 maladie qui doit
être traitée."

D'ailleurs il suffit est instructif de se reporter au Jal Officiel
et de co lire les phrases prononcées par nos très ho-
norables députés lors des débats sur contraception
et pire avortement pr voir que pour à quel point la liberté

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