II, 352Peut-être a-t-il pris une chambre à l'hôtel ? me
dit-elle.
A
l'hôtel ? Oui,
il est peut-être à l'hôtel répondit-elle, il est peut-être à l'hôtel — et elle m'expliqua qu'il arrivait
effectivement en effet à Biaggi
de travailler à l'hôtel, de prendre une chambre
à l'hôtel dont il connaissait très bien le patron, et de s'isoler toute une semaine pour travailler. De sorte que si,
comme le pensait Hélène comme le pensait Hélène, Biaggi avait
effectivement repris l'avion pour Sasuelo juste après l'enterrement, il se trouvait déjà à Sasuelo au moment de mon arrivée, puisque
le taxi m'avait déposé dans le village j'étais arrivé moi-même dans la en fin de matinée
de la journée du vingt-huit
octobre. Et si d'aventure Biaggi se trouvait
à l'hôtel ici à ce moment-là,
si d'aventure il avait pris une chambre à l'hôtel, il
m'avait certainement
vu dû me voir arriver, et c'est lui qui
se s'était cach
aiét de moi en réalité,
pendant ces quelques jours même si alors que [<>](1) je prenais soin
pour ma part de ne pas me faire voir pour éviter que les Biaggi
que je croyais chez eux ne sachent que j'étais dans le village. Car c'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu à Sasuelo, pour
voir Hélène retrouver Hélène voir Hélène.
même si j'avais tout fait pour
ne pas la rencontrer et que mon séjour s'achèv
eât sans que je
l'aie vue. la voie. visse