devait se trouver à Sasuelo, selon elle, puisqu'il n'était pas à Paris.
Il devait se trouver dans le village depuis une semaine le vingt-sept octobre   environ, exactement, car si
Hélène ne se trompait pas et qu'il était effectivement revenu à Sasuelo
juste après l'enterrement, cela remontait <>à un peu moins d'une semaine en conséquence, et il était déjà là au moment de mon arrivée, en conséquence à près d'une semaine maintenant, et, xx ce qui voulait dire que Biaggi était déjà là à Sasuelo
puisque j'étais arrivé à l'hôtel dans la matinée du vingt-huit octobre.
Et je ne doutais pas que si Biaggi se trouvait dans le village à ce moment-là,de sorte qu'il avait certai-
nement dû me voir arriver, et c'est lui qui s'était caché de moi en
réalité pendant ces quelques jours, évitant de sortir de chez lui ou
ne sortant que la nuit quand il pensait ne pas me trouver dans le village,
alors que, dans le même temps, je prenais le même type de précautions pour
éviter sa maison pensant que les Biaggi   où j'étais persuadé qu'ils  se'y trouvaient tous les deux tous les deux. Car
c'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu à
Sasuelo, pour voir Hélène. – Même si j'avais tout fait pour que mon séjour
s'achevâte sans que je la visse voie. [ Je me penchai sur Hélène pour lui baiser
le front et lui dit que j'allais y allerrentrer à l'hôtel (je te prends
Le Monde, hein, dis-je, j'ai vu que tu l'avais amené).

A l'hôtel ? dit-elle.