déjà deux constituées
l'allée de graviers, et je vis que la vieille Mercedes grise était garée
un peu plus loin contre un arbre
long de la façade, aussi bien au rez de chaussée qu'au premier étage de, mais la porte du garage était ouverte maintenant, et j'apercevais
la villa
le fond du garage au loin, dans l'ombre les contours d'une
barque de pêche retournée et de quelques bidons
des murs.
grille, et il me dévisagea en continuant à râtisser. Nos regards se croi-
sèrent un instant alors —juste un instant —, et je poursuivis ma route,
finis par dépasser la des m'apercevoir d'où je me trouvais placé. Il portait —>
j'arrivais de nouveau à la hauteur de la grille, je m'arrêtai légèrement
en retrait de l'entrée de la maison, de manière que l'homme ne pût pas me
voir. ] L'homme était toujours dans le parc, qui ne pouvait pas m'apercevoir
d'où je me trouvais placé placé, et je le regardais râtisser les feuilles mortes
sur la pelouse, lentement, qu'il réunissait en petits tas réguliers. J'étais
Our “nat Éx ess ele Ce
déjà deux petits tas de feuilles mortes censbéièuées à côté de lui dans
l'allée de graviers, et je vis que la vieille Mercedes grise était garée
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un peu plus loin cerrtre-Uñ arbre. Les volets étaient toujours fermés le
long de la façade, aussi-Dien au-rer-decaussée qu'au Premier étage de
la-vihHa, mais la porte du garage était ouverte maintenant, et j'apercevais
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le fond du garage au loin, d& se devinaient Gerrs-tombre les contours d'une
ot "Cnil ot
barque de pêche retournée et de quelques bidons*d'essence disposés le long
des murs. [L'homme releva la tête dès qu'il sentit ma présence devant la
grilles et il me dévisagea en continuant à râtisser. Nos regards se croi-
sèrent un instant alors — juste un instant —, et .je poursuivis ma route,
laut. on D
finis par dépasser La propriété SEPT. Exxmforhhte #4" ot. pe) Je avt CEST
L'E cts a ta ho—qu ee @ a
m'oporevs often ge & oi pénes. JE prb > à por
Je marchai quelques instants ainsi, puis je revins sur mes pas, et, comme
j'arrivais de nouveau à la hauteur de la grille, je m'arrêtai légèrement
en retrait de l'entrée Rte rateen de-nanière-que—Lhomme TE DÔT- DAS ME
PE
veir.| L'homme était toujours vdans le parc, qui ne pouvait pas m'apercevoir
d'où je me trouvais HRRSE, et je le regardais râtisser les feuilles mortes .
ot. Cle le prove à oL—#e pere,
sur la pelouse, lentement, qu'il réunissait en petits tas réguliers. J'étais
otevt € ‘a—£ie uen ch €‘cugle do
là debout bond de Lara corps caché Snride ie mur d'Eerteirte
de—te-propritété, et je regardais cet homme qui attatt-et-venait eelnement yes
Panaise + LU Esensy mille
à tes < 2
, * sur ta-petouse, cet-homme-unt-paraisait Fi tranquiite dames .….
pe devant-moi e gr. .
How + —e ot Eure ag ge D om Mo fO e e Der pr tlasmnt. ali lee yep holee Le te ,
Le € parc-de-Ta propriété, et, tort-en continuant de le suivre des, yeux, je finis
np cts on t'-yloca Ps,
ra par me demander s'il ne se pouvait pas que cet homme - A.
7 mm
ln . ie fût tout simplement le gardien de la propriété des-Pieggi [Tout / «
SL Cn. rer” ssl let, aneatlsat mn |
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denbiert l'indiquerven effet dams-sorcempertement, et,nourtant, autant que
L'ela, Prapys
je pouvais m'en souvenir, celui qui faisait office de gaârdien, el qui
gardait la maison des-Btapgi en leur absence et qui assurait l'entretien
setun ph Cove,
du jardin é ations-dans-—te-vittha, ce h'était pas cet
g= > benv/ à eut 0
homme i ï c, mais /c'était Rafa, un
bi, veste comfort. "5-0. à
vieux monsieur très-aimebike que j'avais déjà aperçu uné fois ou deux à
l'occasion quand il venait arroser le jardin
pendant l'été et qu S FLE le monde avait toujours appdlé Rafa, sans que je
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