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II, 404

J'écoutai attentivement, et n'entendis aucun bruit, ni à l'étage,
ni dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. J'avais ramassé une petite
écharpe qui traînait sur un fauteuil du salon avant de quitter la pièce le salon,
et je me tenais tout près du mur dans le vestibule désert de la villa. Le
sol était très sombre, recouvert d'un dallage blanc et noir, et, sous le 
grand miroir de l'entrée, se trouvait une malle en osier sur laquelle étaient
posées deux raquettes de tennis. L'escalier qui montait au premier étage
se dressait devant moi dans l'obscurité, immobile et parfaitement  silencieux, et, n'enten-
dant toujours rien à l'étage
, je m'avançai lentement dans l'ombre du vestibule, l'écharpe à la main,
et commençai
à
 monter à l'étage les premières marches de l'escalier.m'engageai dans l'escalier pour.commençai à monter à l'étage.  Je montais lentement au
premier étage
 les escaliers, marche après marche et me tenant à la rampe et l'écharpe à la main et devant moi j'apercevaisLa première
porte du couloir de l'étage était entrouverte entrouverte d'une chambre à coucher et  j'apercevais un lit
des lits jumeaux dans la chambre à coucher, une armoire dans la pénombre.
Je ralentis au moment de gravier les dernières marches et entrai sans
bruit 
 passai dans devant la chambre sans bruitme dirigeai vers la fenêtre m'avançai dans le couloir.Le volet était parfaitement fermé.

Je m'arrêtai presque à chaque marche, et, au milieu des l'escaliers, et, devant moi j'apercevais la porte entrouverte d'une chambre à coucher. Je me remis en route, toujours aussi lentement, et arrivé en haut des escaliers, je m'engageais sans bruit dans le couloir.

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brigittefc