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II, 458



Les murs étaient très sombres dans le garage, qui se détachaient à
peine de l'obscurité, et une voiture était garée là dans le noir, une
Renault rouge qui appartenait à Hélène Biaggi, me semblait-il, tandis
que, le long des murs, divers objets étaient entreposés dans l'ombre,
des bidons d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux rames en bois
couchées sur le sol. Je passai à côté de la voiture et ouvris la petite
porte métallique du fond, basse et que suivaient deux marches, pour
entrer dans une pièce tout aussi sombre, une sorte de cellier où, à côté
d'une grande étagère remplie de produits d'entretien et de boîte de
conserve, se dessinaient les contours d'un casier à bouteilles presque
vide. A mesure que je progressais dans la maison, presque pas à pas et
prenant appui contre les murs pour me guider dans le noir, l'obscurité
devenait plus dense encore., Ttous les volets de la villa étaient fermés,
et ils semblaient qui paraissait très noirs vus ainsi de l'intérieur à travers les vitres
des fenêtres du rez-de-chaussée. Je passai dans le vestibule, et, ???, je Je m'immobilisai au pied de l'escalier
qui montait au premier étage, et je et je ne ne bougeai plus car c'était là que
Biaggi m'attendait, qui se tenait sans doute en haut des marches dans l'obscurité du couloir.

  • doute quant à la transcription d'un rajout à la main --> "???" 05/03/2020 09:05 - Wellington
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