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II, 483


presque immobile et les yeux fixés sur le volet, je m'approchai d'une des
jarres de terre dont la silhouette se profilait dans l'ombre, et je
passai la main à l'intérieur pour chercher à tâtons les clefs de la maison,
me souvenant très bien que c'était là que les Biaggi les laissaient chaque
fois qu'ils s'absentaient. Je les trouvai sous une pierre, emballées dans
un petit sachet en plastique transparant, et je longeai la façade sans bruit. , gardant un oeil sur le volet du premier étage.
J'avais décidé d'entrer dans la maison — et la peur de me trouver face
à face avec Biaggi ne pouvait plus, qui aurait pu m'arrêterquelques minutes plutôt, ne faisait que. Le trousseau était composé
de deux clefs, celle du garage et celle de la maison, que retenait un petit
porte-clefs triangulaire, et m'arrêtant dans la pénombre du garage, j'introduisis la plus petite des clefs dans la serrur, doucement, et poussais la porte du garage.
du garage, soulevai fis pivoter soulevais doucement doucement la porte la partie amovible de la porte. le plus doucement possiblesoulevais la porte le plus doucement possible



plus forte que j'éprouvais à me sentir constamment

n'était pas aussi forte x était que celle plus diffuse de le savoir peut-être en train de m'observer.

et la peur diffuse que je ressentais de savoir Biaggi
en train de m'observer n'était
pas aussi forte que celle
de me trouver face à
face avec lui
  

Contributeurs (1)
Romain Perrot